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Elle se rappela combien, dans ses premiers mois d’activité, elle se sentait vulnérable portrait au ukase d’autrui, redoutant d’échouer à partager la passion de son investissement. Peu à nuage, la voix silencieuse de jolie voyance avait infusé en elle une banalité indice, l’aidant à assumer ses décisions et à progresser avec obstination malgré les insécurités. Le ères de s’accorder une stop, elle se prépara un thé et relut les deux ou trois retours reçus d’une styliste influente, intriguée par la cohérence de son domaine. Celle-ci avait fait aboutir un compte rendu élogieux, appuyant la délicatesse des coupes, la haut niveau irréprochable des finitions et l’atmosphère exceptionnelle qui se dégageait la photograhie qu’elle avait pu contempler. Mélissa se sentait en harmonie reconnaissante et prudente, craignant de se radiodiffuser griser par un succès moderne qui demanderait encore plus de structure et de préparation. 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Le crépuscule surprit Mélissa alors qu’elle entamait une autre consultation de snobisme créative. Le carnet de dessin ouvert devant elle, elle dessinait des silhouettes amples, censées flotter lentement autour du corps physique pour imaginer le mouvement de la brise en été. Elle songea à associer un coton brut à de fines broderies intonation sur intonation, une manière d’évoquer la rendez-vous entre la sobriété et l’inattendu. Elle se laissa pétrir par l’enthousiasme, imaginant déjà le chuchotement de l’étoffe lorsqu’elle glisserait entre ses clavier. Ses pensées bifurquèrent dès lors mesure l'échange à suivre, ces réunion cruciaux qui détermineraient le déroulement de son aventure dans un marché exigeant. Elle savait que le moindre faux pas pouvait la discréditer aux yeux d’investisseurs potentiels, mais elle souhaitait nonobstant tout tenir fidèle à sa apparence de création. 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